Pour faire le lien avec MUNCI
( audience, en 2007, de gonic.fr   )    

convergence de nos vues concernant l'état de la profession informatique dans notre pays :

  rappel de quelques liens sur notre sie WEB :   
pourquoi.htmlrésistance !
=> why_context0.html
=> sociologie.html
=> sevice_info.html  qui ne dit rien consent !
résistance !pétitions lettres : part_obj.html#COURRIERS
=>  petitionMaireEtMinistre.pdf  qui ne dit rien consent !
=> 
gags/gags.htmlrésistance !
retour souhaité ! "qui ne dit rien consent !"

surenchère des critiques (par rapport à ce que nous avons parcouru jusqu'ici du site MUNCI.org
analyses : marché du travail / SSII / indépendants / portage salarial )
:
ALERTE !!!

    * free-lance / création d'entreprise / portage salarial ?
        ... en cours de rédaction ...
    Aujourd'hui, face aux grandes puissances (établies ou émergentes), face aux multi-nationales et à l'externalisation mondiale, est-il bien sérieux d'inciter des bleus, ou d'anciens salariés laissés sur le carreau, à se jouer la guéguerre entre eux ? Et à affronter, isolés, la dure loi du Marché, de la concurrence et du chacun pour soi, en créant sa mono-entreprise ???
    ... Est-il bien honnête d'amener les dépités des SSII et du licenciement abusif à troquer, sans filet de secours, une "obligation de moyens" contre une "obligation de résultats" ???
    Est-il bien pertinent, à l'heure du travail d'équipes en réseaux, d'inciter des petits génies à sacrifier leur jeunesse et leur équilibre social à des prouesses de mercenaires isolés ... au service de qui ? de quoi ? du Dieu Argent ? du Dieu Informatique ? de la gloire de préserver leur propre peau le temps d'un contrat ? En espérant qu'au prochain combat, l'unique client qu'ils auront eu la chance de repérer ou auquel ils auront pu s'inféoder voudra bien leur accorder un nouveau combat dans l'arène ???
    ...

    * formation / apprentissage / pratique / expérimentation ?
       ...
en cours de rédaction ...
    Au coeur du malaise structurel de la profession !
    S'il ne s'agissait que de formation, on n'enseignerait déjà plus que l'intelligence artificielle et la robotique .. jusqu'à la nouvelle génération de robots informaticiens !
    - Qui paie la matière grise exploitée par les managers, les coachs, les employeurs et les financiers du Marché de l'Informatique ?
    * Au stade de la formation initiale : c'est toujours, essentiellement, d'abord les contribuables; ensuite, c'est les apprentis informaticiens qui investissent :
      - par leurs efforts, la part d'auto-formation, et les heures non comptées et confiantes qu'ils prodiguent à leur passion
      - par l'absence d'une prospective éclairée et assumée collectivement (ils ont la nécessité de choisir, de manière ecclectique autant que sous la pression d'un laisser aller opportuniste et attentiste, des options de spécialisation dont personne ne voudrait ni ne saurait garantir les points d'employabilité ... passée la demande immédiate ! (Les marchands de régies ou les banquiers n'ont, eux, que les indications de la Bourse à surveiller pour conditionner le turn-over des moutons-à-cinq-pattes demandés aux écoles ou aux 'cabinets de conseils' en fonction des caprices des modes technologiques !)

    * Plus tard, au stade de l'entretien des compétences et de l'employabilité, c'et plutôt d'abord l'individu, puis l'argent public qui intervient : - indemnisations ASSEDICS, - subventions officiellement administrées pour des formations dont l'efficacité est impossible à mesurer, - subventions pour l'emploi (sans suivi, ni contrôle, ni rétro-action ...)
    ... Toute la subtilité du jeu Marchand consiste à faire supporter, par les moins malins, les moins avertis et par les perdants, le poids du nécessaire apprentissage de terrain et de la non moins indispensable expérimentation ...
   

 
      rappel de ce qu'il faudrait arriver à concilier :
    1. l'aspiration à une informatique Européenne, si possible Open Source
    2. l'aspiration à un droit de regard Européen sur la gestion de l'Internet
    3. la concurrence mondiale
    4. la "fuite des cerveaux"
    5. les profits de l'externalisation
    6. l'évitemment des conflits sociaux
    7. la nécessité d'inciter les jeunes à ne pas délaissser les formations scientifiques et le développement informatique
    8. la re-motivation des "séniors"
    9. les coûts d'une formation professionnelle pertinente, (en tenant compte d'une dette nationale inavouable )
    10. la relance de l'emploi en Informatique ...
    11. le souhait de voir aboutir de grands projets ...

nos actions
:

nos suggestions :
  
why_appel0.html#SUGGESTIONS

nos visées :
   why_motiv0.html
   MIHALYI.html
 Synthèse provisoire :
   ... en cours de rédaction ... dès qu'on osera
  
« Qui n'avance pas recule ! »
* étre audacieux et inventifs   * casser certains tabous et la peur paralysante  
* partager la richesse d'une confiance structurellement désintéressée, si ce n'est qu'elle doit sans doute passer par un engagement officiel et le respect du Contrat social

Pour faire court, c'est tout simple (nous ne réclamons ni argent ni aide matérielle, ni rien pour nous-mêmes !) :
ni plus, ni moins qu'un appel à la CONCERTATION !

Il suffirait que nous puissions obtenir un AVIS OFFICIEL sur les suggestions civiques proposées dans ce site aux responsables publics.
C'est à dire, en gros, à la question : « Ces suggestions peuvent-elles avoir un caractère d'intérêt public ?» , nous aurions souhaité une r&eacuteponse "OUI", "NON" ou même seulement : "On s'en fiche bien" ...

S'il faut encore détailler pourquoi et comment cette seule réponse, franche, suffirait à débloquer l'impasse des énergies gaspillées, nous penserons à le faire ... (nous reprenons notre souffle et il faudra revenir lire la suite ...)

possible dans l'immédiat :    répondre, ouvrir une voie officielle !
  • si OUI : faut-il faire un dessin ? (Nous préciserons ci-après une voie raisonnable, à notre portée; mais l'accord de principe préalable (à définir à partir de nos suggestions, traduites par la stagiaire de Sciences-Po), nous est indispensable! Cet engagement officiel ne doit pas pouvoir être exclu au prétexte que les détails d'une solution esquissée ne paraîtraient pas d'une perfection absolue ! Si le cap est bon, espérons au contraire que de multiples chemins peuvent y converger. Pas question de servir du "tout cuit", ni de la solution unique miraculeuse ! )
  • si NON : (contre-)argumenter ! ... => (en quoi ces propositions seraient-elles plus perverses que les "avions renifleurs", par exemple ) ... Si l'Etat doit intervenir dans des options industrielles spécifiques comme celles d'EDF, d'Airbus, .. de ST Microelectronics, de Bull, ou de HP .. pourqoui ne serait-il pas concerné par les conditions STRATEGIQUES du développement des compétences nationales vitales pour le marché des services informatiques ?
    Un NON officiel implique une contre-argumentation officielle : si cette contre-argumentation est convaincante, elle remettra dans le droit chemin ceux qui se trompent ou s'illusionnent. Donc elle règlera leur problème !
  • si "On s'en fiche bien" => ... (crédibilité de la République ? / désertion des urnes ?/ investissements prospectifs en déshérence ...)


  • => C.Q.F.D. : une réponse OFFICIELLE, quelle qu'elle soit, suffirait à régler les problèmes dénoncés et à remettre en marche les sans-emploi !
envisageable à plus long terme, si OUI :
    ... Si des bénévoles peuvent, tout en se formant, réaliser des outils ou accomplir des services utiles à la société : à qui cela doit-il profiter ? Qui doit rester propriétaire des licences (libres) mises en oeuvre ?
    - les enseignants qui encadrent ? ( déjà payés à temps plein ) (*)
    - les industriels qui tolèreraient qu'on marche un peu sur leurs plates-bandes ? ou qui sauraient profiter de leurs capacités de distribution et de marketing ? (*)
    - ou plutôt les bénévoles eux-mêmes ! (qui doivent pouvoir conserver une autonomie dans leur créativité ...)

      renvoi(*) : le beurre (subventions publiques pour favoriser la formation), l'argent du beurre (disponibilités ou auto-formation gratuites), et la crémière en prime (produit des exercices d'apprentissage et d'expérimentations bénévoles) !

    D'aucuns pourraient prétexter la nécessité d'une contre-partie à la (soi-disant) concurrence que pourrait apporter la possibilité, pour des structures associatives autonomes, de fournir des services rémunérés. Mais, dès qu'il est reconnu (cf ADAE et Open source) qu'un service est d'utilité publique, pourquoi parler de concurrence du Marché avant même de penser au devoir premier de permettre les conditions d'équilibre indispensables à la mise en oeuvre de ce service public ?
    Plutôt que d'attirer d'emblée les foudres de ceux qui se satisfont de la situation actuelle, et risquent de vouloir ne pas dépasser les à-priori négatifs qu'on oppose aux empêcheurs de tourner en rond ... rappelons d'abord que ATTENDRE LA VEILLE D'UN SCUTUIN POUR PRESENTER SON PROGRAMME POLITIQUE N'EST PLUS UNE STRATEGIE GAGNANTE !;
    les visées que nous voudrions préciser ne sont pas réservées à un Parti politique, et respectent parfaitement le principe de laïcité, mais nous avons été suffisamment échaudés pour vouloir éviter tout détournement de sens ou récupération :
      seul un accord de principe OFFICIEL permettrait de débloquer l'expression des vraies élans de bonnes volontés !
    Alors ? bluff, Imaginaire, ou chimères , nos visées ? ...
    si ceux qui pensent les avoir déjà comprises ne nous contactent pas, il restera difficile de croire à leur volonté de CONCERTATION !
    ... la suite ? peut-être, à trop tard ! ... (contester la voie imposée est risqué pour nous ! mais tout le monde est dans le même bateau : si l'on veut nous sacrifier, notre perte pourrait bien en entraîner d'autres ...)
      (aperçu :
      des associations indépendantes (lois 1901) devraient pouvoir obtenir, en contre-partie d'un engagement officiel, des facilités pour :
    • un suivi de projets officiels, d'utilité publique, fruits d'initiatives locales, spontanées, qu'elles se proposeraient de servir
    • un rapprochement avec des établissements d'enseignement public ...(exposés, formations, TD, stages, validations de compétences, expérimentations encadrées ...)
    • un droit à se faire connaître (dans les ANPE / APEC / établissements d'enseignement de l'informatique ...)
    • des facilités pour compenser leur part de bénévolat par une autorisation à proposer des services rémunérés, dans un cadre officiellement convenu : pour garantir leur indépendance financière et démocratique
    • Les facilités accordées à ces associations pourraient être votées par des assemblées averties et démocratiquement constituées (par exemple : parmi des volontaires concernés et compétents, tirés au hasard parmi toute la population employable - et non plus en restreignant le dialogue à une poignée d'élus omniscients d'un côté, et d'autre part, des 'acteurs sociaux' ne représentant pas méme un dixième de la population active) ...
    • ...

    • Alors ? Qui reste ouvert pour poursuivre la discussion démontrant en quoi, et comment, ceci pourrait conduire à une réelle alternative (plus rapide que bien d'autres fausses solutions improvisées)? A une étape crédible vers le dépassement de bien des impasses auxquelles se heurtent les métiers de l'informatique ?
      ... Nous tenons à faire remarquer que quoi que puisse valoir notre projet GAMIN, dans l'état actuel, il prouve au moins notre effort d'action tangible : le baratin n'est qu'un passge obligé, devenu la priorité à laquelle nous sommes acculés pour essayer de sortir de l'impasse !
      ...

 
     goto   www.munci.org  !

à savoir, au minimum, ne serait-ce que par souci de culture générale ...

Actualité : Le Munci réagit au projet CDD de projet