convergence
de nos vues concernant l'état de la
profession informatique dans notre pays :
rappel
de quelques liens sur notre sie WEB :
surenchère
des critiques (par rapport
à ce que nous avons parcouru jusqu'ici du site MUNCI.org
analyses : marché du travail / SSII /
indépendants / portage salarial ) :
ALERTE
!!!
* free-lance / création
d'entreprise /
portage salarial ?
... en cours de
rédaction ...
Aujourd'hui, face aux grandes puissances
(établies ou émergentes), face aux
multi-nationales et à l'externalisation mondiale, est-il
bien sérieux d'inciter des bleus, ou d'anciens
salariés laissés sur le carreau, à se
jouer la guéguerre entre eux ? Et
à affronter, isolés, la dure loi du
Marché, de la concurrence et du chacun pour soi, en
créant sa mono-entreprise ???
...
Est-il bien honnête d'amener les
dépités des SSII et du licenciement abusif
à troquer, sans filet de secours, une "obligation
de moyens" contre une "obligation de résultats"
???
Est-il bien pertinent, à l'heure du travail
d'équipes en réseaux, d'inciter des petits
génies à sacrifier leur jeunesse et
leur équilibre social à des prouesses de
mercenaires isolés ... au service de qui ? de quoi ? du Dieu
Argent ? du Dieu Informatique ? de la gloire de préserver
leur propre peau le temps d'un contrat ? En espérant qu'au
prochain combat, l'unique client qu'ils auront eu
la chance de repérer ou auquel ils auront pu
s'inféoder voudra bien leur accorder un nouveau combat dans
l'arène ???
...
* formation / apprentissage / pratique /
expérimentation ?
... en
cours de rédaction ...
Au coeur du malaise structurel de la
profession !
S'il ne s'agissait que de formation, on n'enseignerait
déjà plus que l'intelligence artificielle et la
robotique .. jusqu'à la nouvelle
génération de robots informaticiens !
- Qui paie la matière grise exploitée par les
managers, les coachs, les employeurs et les financiers du
Marché de l'Informatique ?
* Au stade de la formation initiale : c'est toujours, essentiellement,
d'abord les contribuables; ensuite, c'est les apprentis informaticiens
qui investissent :
- par leurs efforts, la part
d'auto-formation, et les heures non comptées et confiantes
qu'ils prodiguent à leur passion
- par l'absence d'une prospective éclairée et
assumée collectivement (ils ont la
nécessité de choisir, de
manière ecclectique autant que sous la pression d'un laisser
aller opportuniste et attentiste, des options de
spécialisation dont personne ne voudrait ni ne saurait
garantir les points d'employabilité ...
passée la demande immédiate ! (Les marchands de régies
ou les banquiers n'ont, eux, que les indications de la Bourse
à surveiller pour conditionner le turn-over des
moutons-à-cinq-pattes demandés aux
écoles ou aux 'cabinets de conseils' en fonction des
caprices des modes technologiques !)
* Plus tard, au stade de l'entretien des compétences et de l'employabilité,
c'et plutôt d'abord l'individu, puis l'argent public qui
intervient : - indemnisations ASSEDICS, - subventions officiellement
administrées pour des formations dont
l'efficacité est impossible à mesurer, -
subventions pour l'emploi (sans suivi, ni contrôle, ni
rétro-action ...)
... Toute la subtilité du jeu Marchand consiste à
faire supporter, par les moins malins, les moins avertis et par les
perdants, le poids du nécessaire apprentissage de terrain et
de la non moins indispensable expérimentation ...
|
rappel de ce qu'il faudrait arriver à
concilier : - l'aspiration à une
informatique Européenne, si possible Open Source
- l'aspiration à un droit de regard
Européen sur la gestion de l'Internet
- la concurrence mondiale
- la "fuite des cerveaux"
- les profits de l'externalisation
- l'évitemment des conflits sociaux
- la nécessité d'inciter les
jeunes à ne pas délaissser les formations
scientifiques et le développement informatique
- la re-motivation des "séniors"
- les coûts d'une formation
professionnelle pertinente, (en tenant compte d'une dette nationale
inavouable )
- la relance de l'emploi en Informatique ...
- le souhait de voir aboutir de grands projets ...
nos actions
:
nos
suggestions
:
why_appel0.html#SUGGESTIONS
nos visées :
why_motiv0.html
MIHALYI.html
Synthèse provisoire :
... en cours de rédaction ...
dès qu'on osera
« Qui n'avance
pas recule ! »
* étre audacieux et inventifs
* casser certains tabous et la peur paralysante
* partager la richesse d'une confiance structurellement
désintéressée, si ce n'est qu'elle
doit sans doute passer par un engagement officiel et le respect du
Contrat social
|
Pour faire court, c'est tout simple (nous
ne réclamons ni argent ni aide matérielle, ni
rien pour nous-mêmes !) :
ni plus, ni moins qu'un appel à la
CONCERTATION !
Il suffirait que nous puissions obtenir un AVIS OFFICIEL sur les
suggestions civiques proposées dans ce site aux responsables
publics.
C'est à dire, en gros, à la question :
« Ces suggestions peuvent-elles avoir un caractère
d'intérêt public ?» , nous aurions
souhaité une réponse "OUI", "NON" ou
même seulement : "On s'en fiche bien" ...
S'il faut encore détailler pourquoi et comment cette seule
réponse, franche, suffirait à
débloquer l'impasse des énergies
gaspillées, nous penserons à le faire ... (nous
reprenons notre souffle et il faudra revenir lire la suite ...)
possible dans l'immédiat :
répondre, ouvrir une voie
officielle !
- si OUI : faut-il faire un dessin ?
(Nous préciserons ci-après une voie raisonnable,
à notre portée; mais l'accord de principe
préalable (à définir à
partir de nos suggestions, traduites par la stagiaire de Sciences-Po),
nous est indispensable! Cet engagement officiel ne doit pas pouvoir
être exclu au prétexte que les détails
d'une solution esquissée ne paraîtraient pas d'une
perfection absolue ! Si le cap est bon, espérons au
contraire que de multiples chemins peuvent y converger. Pas question de
servir du "tout cuit", ni de la solution unique miraculeuse ! )
- si NON : (contre-)argumenter ! ... =>
(en quoi ces propositions seraient-elles plus perverses que les "avions
renifleurs", par exemple ) ... Si l'Etat doit intervenir dans des
options industrielles spécifiques comme celles d'EDF,
d'Airbus, .. de ST Microelectronics, de Bull, ou de HP .. pourqoui ne
serait-il pas concerné par les conditions STRATEGIQUES du
développement des compétences nationales vitales
pour le marché des services informatiques ?
Un NON officiel implique une contre-argumentation officielle : si cette
contre-argumentation est convaincante, elle remettra dans le droit
chemin ceux qui se trompent ou s'illusionnent. Donc elle
règlera leur problème !
- si "On s'en fiche bien" => ... (crédibilité
de la République ? / désertion des urnes ?/
investissements prospectifs en déshérence ...)
=> C.Q.F.D. : une réponse OFFICIELLE, quelle qu'elle
soit, suffirait à régler les problèmes
dénoncés et à remettre en marche les
sans-emploi !
envisageable à plus long terme, si OUI :
... Si des bénévoles peuvent, tout en se formant,
réaliser des outils ou accomplir des services utiles
à la société : à qui cela
doit-il profiter ? Qui doit rester propriétaire des licences
(libres) mises en oeuvre ?
- les enseignants qui encadrent ? ( déjà
payés à temps plein ) (*)
- les industriels qui tolèreraient qu'on marche un peu sur
leurs plates-bandes ? ou qui sauraient profiter de leurs
capacités de distribution et de marketing ? (*)
- ou plutôt les bénévoles
eux-mêmes ! (qui doivent pouvoir conserver une autonomie dans
leur créativité ...)
renvoi(*)
: le beurre (subventions publiques pour
favoriser la formation), l'argent du beurre (disponibilités
ou auto-formation gratuites), et la crémière en
prime (produit des exercices d'apprentissage et
d'expérimentations bénévoles) !
D'aucuns pourraient prétexter la
nécessité d'une contre-partie à la
(soi-disant) concurrence que pourrait apporter la
possibilité, pour des structures associatives autonomes, de
fournir des services rémunérés. Mais,
dès qu'il est reconnu (cf ADAE et Open source) qu'un service
est d'utilité publique, pourquoi parler de concurrence du
Marché avant même de penser au devoir premier de
permettre les conditions d'équilibre indispensables
à la mise en oeuvre de ce service public ?
Plutôt que d'attirer d'emblée les foudres de ceux
qui se satisfont de la situation actuelle, et risquent de vouloir ne
pas dépasser les à-priori négatifs
qu'on oppose aux empêcheurs de tourner en rond ... rappelons
d'abord que ATTENDRE LA VEILLE D'UN SCUTUIN POUR PRESENTER SON
PROGRAMME POLITIQUE N'EST PLUS UNE STRATEGIE GAGNANTE !;
les visées que nous voudrions préciser ne sont
pas réservées à un Parti politique, et
respectent parfaitement le principe de laïcité,
mais nous avons été suffisamment
échaudés pour vouloir éviter tout
détournement de sens ou récupération :
seul un accord de principe OFFICIEL permettrait de débloquer
l'expression des vraies élans de bonnes volontés
!
Alors ? bluff, Imaginaire, ou chimères , nos
visées ? ...
si ceux qui pensent les avoir déjà comprises ne
nous contactent pas, il restera difficile de croire à leur
volonté de CONCERTATION !
... la suite ? peut-être, à trop tard ! ...
(contester la voie imposée est risqué pour nous !
mais tout le monde est dans le même bateau : si l'on veut
nous sacrifier, notre perte pourrait bien en entraîner
d'autres ...)
(aperçu
:
des associations indépendantes (lois
1901) devraient pouvoir obtenir, en contre-partie d'un engagement
officiel, des facilités pour : - un suivi de
projets officiels, d'utilité publique, fruits d'initiatives
locales, spontanées, qu'elles
se proposeraient de servir
- un rapprochement avec des
établissements d'enseignement public ...(exposés,
formations, TD, stages, validations de compétences,
expérimentations encadrées ...)
- un droit à se faire
connaître (dans les ANPE / APEC / établissements
d'enseignement de l'informatique ...)
- des facilités pour compenser leur
part de bénévolat par une autorisation
à proposer des services
rémunérés, dans un cadre
officiellement convenu : pour garantir leur indépendance
financière et démocratique
- Les facilités accordées
à ces associations pourraient être
votées par des assemblées averties et démocratiquement
constituées (par exemple : parmi des volontaires
concernés et compétents, tirés au
hasard parmi toute la population employable - et non plus en
restreignant le dialogue à une poignée
d'élus omniscients d'un côté, et
d'autre part, des 'acteurs sociaux' ne représentant pas
méme un dixième de la population active) ...
- ...
Alors ? Qui reste ouvert pour poursuivre la discussion
démontrant en quoi, et comment, ceci pourrait conduire
à une réelle alternative (plus rapide que bien
d'autres fausses solutions improvisées)? A une
étape crédible vers le dépassement de
bien des impasses auxquelles se heurtent les métiers de
l'informatique ?
... Nous tenons à faire remarquer que quoi que puisse valoir
notre projet GAMIN, dans l'état actuel, il prouve au moins
notre effort d'action tangible : le baratin n'est qu'un passge
obligé, devenu la priorité à laquelle
nous sommes acculés pour essayer de sortir de l'impasse !
...
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